CISSP et CISM, les deux premiers types de certification en sécurité informatique

CISSP et CISM, les deux premiers types de certification en sécurité informatique

Avec l’évolution des Hackers, aucune entreprise n’est à l’abri des piratages informatiques et la sécurité informatique touche principalement les chefs d’entreprise.

La protection et le recours à un spécialiste en sécurité informatique pour protéger les données de l’entreprise est devenu un le facteur clé dans le développement de l’entreprise.

Pour cela, les chefs d’entreprise ont besoin de recruter des personnes qui maîtrisent parfaitement la « sécurité informatique », cependant avec plusieurs profils, comment l’entreprise connaîtra le bon candidat capable de répondre aux besoins de l’entreprise? Pour pouvoir répondre à cette question très importante, le recruteur prendra en compte les certifications. La certification représente est toujours bénéfique pendant la recherche d’emploi, car elle indique un certain niveau de compétence.

Actuellement, il y a plusieurs certifications en sécurité informatique et en tant que chefs d’entreprise, il est nécessaire de les connaître.

CISSP (Certified Information Systems Security Professional)

Reconnue internationalement, le CISSP est une certification est validée par les experts du monde entier. Elle a pour objectif principal de continuer en permanence leur formation afin d’élargir les connaissances et les analyses au niveau des risques des systèmes dans une optique de gouvernance.

Le programme de la certification comporte dix chapitres :

  • Systèmes et Méthodologies de contrôle d’accès
  • Sécurité des Télécommunications et des Réseaux
  • Pratiques de gestion de la sécurité
  • Sécurité des développements d’applications et de systèmes
  • Cryptographie
  • Architecture et Modèles de Sécurité
  • Sécurité des opérations
  • Continuité des opérations et Plan de reprise en cas de désastre
  • Loi, investigations et éthique
  • Sécurité physique

CISM : (certificat pour les managers en sécurité)

Originaire d’Amérique par l’ISACA (l’Association d’Audit et de contrôle des systèmes informatiques), c’est une certification qui s’occupe en premier lieu la vie de population et des responsables au niveau de la sécurité des systèmes d’information. En deuxième lieu, ce sont les auditeurs et consultants souhaitant prouver leurs expériences et compétence en la matière qui peut s’e procurer. Cependant, pour avoir cette certification, il faut au moins cinq années d’expériences dans le domaine sécurité informatique et audit.

Pour l’obtention de la certification, il faut répondre durant l’examen de 04 heures une série de 200 questions à choix multiple.

Guide d’achat d’une caisse enregistreuse

Guide d’achat d’une caisse enregistreuse

Faites toujours jouer la concurrence pour dénicher les meilleurs rapports qualité-prix.

Pour l’achat d’un terminal point de vente, il faut penser aux matériels, mais aussi au logiciel adapté. En comparant les différentes offres, on trouve des solutions variées susceptibles de correspondre aux besoins spécifiques de sa boutique ou de son secteur. On peut par ailleurs envisager l’achat de terminaux points de vente d’occasion remis à neuf, 20 à 30 % moins chers. Pour un petit commerce au budget serré, la location est une option à envisager sérieusement.

Les critères de choix des matériels et du logiciel

Un modèle de caisse enregistreuse est toujours décliné en plusieurs tailles différentes. Les modèles réduits, entre autres, sont parfaits pour les locaux restreints.

Pour un environnement difficile (cuisine d’un restau, local d’une boulangerie..), la robustesse du matériel est cruciale. Les modèles adaptés à cette réalité pullulent sur le marché.

Les fonctionnalités du logiciel entre toujours en ligne de compte. Le logiciel est composé d’un front office (pour la gestion de l’activité quotidienne de la boutique) et d’un back office (pour la gestion analytique des statistiques de ventes et des stocks, entre autres).

refinamag - logiciel

Le back office est le principal terrain de prédilection des concepteurs de logiciel de caisse. C’est surtout dans le back office que le logiciel se démarque réellement (spécification pour un secteur précis).

La considération du budget est tout aussi importante. A partir de 900 €, on peut s’offrir une caisse enregistreuse tactile, mais généralement sans le logiciel. Les prix s’envolent à 3 000 €, voire plus, pour un TPV bardé de périphériques avancés (monnayeur automatique, lecteur carte bancaire, lecteur code barre, etc.) et vendu avec un logiciel préinstallé totalement paramétré.

La location est une option sérieusement envisageable

De plus en plus de fournisseurs proposent, en parallèle avec la vente, la location de terminaux points vente. Et quand on loue un TPV, le coût du logiciel adapté est inclus dans la cotisation mensuelle. La location d’un terminal point de vente présente pas mal d’avantages.

Déjà, c’est un bon moyen pour mieux maîtriser son budget. Au passage, c’est dans cette même logique que l’on vous recommande d’envisager aussi l’achat de TPV d’occasion. Ils sont remis à neuf par les fournisseurs et coûtent 60 à 75 % des modèles neufs.

Sinon, la location de terminal de point de vente présente une certaine souplesse. En effet, au fur et à mesure que les besoins de la boutique évoluent, on peut modifier l’équipement ou le transformer totalement, entre autres par l’ajout de nouveaux accessoires.

Enfin, mais non des moindres, la cotisation mensuelle de location comprend aussi l’installation, la mise en service et la maintenance par le fournisseur: site

Les trois contrats qui permettent d’assurer son informatique

Les trois contrats qui permettent d’assurer son informatique

En entreprise, l’informatique occupe une place importante pour la gestion et la production. Si les matériels ainsi que les données viennent à être violés ou endommagés, cela risque sérieusement de nuire à la société. A cela s’ajoute également la cybercriminalité qui sévit depuis un certain temps. Afin de s’en protéger, voici trois contrats auxquels peuvent souscrire les entreprises pour leur informatique.

1.    Dommages informatiques

L’assurance de dommages informatiques permet de couvrir le matériel dans les cas d’incendie et de vol. Ce type de contrat existe sur le marché depuis assez longtemps et garanti les frais de reconstitution des données ainsi que les coûts supplémentaires d’exploitation via le reversement d’un capital à l’entreprise concerné. Cette garantie est à inclure dans le contrat « Multirisques Bureaux » même si à la base elle faisait objet de contrat d’assurance « Tous Risques Informatiques ».

2.    Responsabilité civile

Il y a deux sortes de responsabilité civile à bien différencier : celle d’exploitation et celle professionnelle.
Une responsabilité civile d’exploitation entre en jeux lorsqu’une entreprise transmet un virus informatique à son client. Quant à la responsabilité civile professionnelle, elle joue pour les mises en causes de l’entreprise pour ses prestations, que ce soient des conseils ou des services.

3.    Criminalité informatique

Encore très peu proposé mais pourtant nécessaire, le contrat qui réduit les risques de piratage et d’intrusion dans les systèmes d’informatique en entreprise permet de couvrir les dommages subis lors d’une attaque informatique.